La vie est un jeu de cartes dont le coeur n’est jamais l’atout.
Lorsqu’on veut accomplir des choses exceptionnelles, ça passe forcément par le risque, donc par le jeu.
Ce jeu si isolé, si protégé par des règles arbitraires, baroques même, à l’expérience courante.
Le profane ne songe pas à la somme de jouissance dont il se prive, qui méconnaît ce jeu aux ressources aussi variées que passionnantes.
Les grands assassinats sont devenus le jeu silencieux des sages.
Qui a dit que la vie est un songe La vie est un jeu.
L’écriture est une aventure. Au début c’est un jeu, puis c’est une amante, ensuite c’est un maître et ça devient un tyran.
Ces figures étranges du grand jeu, figures de notre donne, émouvantes, terribles, ce sont les figures sur lesquelles notre destin a été distribué.
Aucun jeu ne peut se jouer sans règles.
Le mariage, un petit jeu de satiété.
Dites à une femme deux ou trois mots qu’elle ne comprenne pas, d’aspect profond. Ils la déroutent, l’inquiètent, la rendent anxieuse, la forcent à réfléchir et vous la ramènent consciente de son infériorité, sans défense. Car le reste est un jeu d’en.
Et le jeu d’échecs, peut être parce qu’elle n’y entendait rien, lui apparaissait non pas comme une distraction familiale, un passe temps agréable, mais comme un art mystérieux, comparable à tous les arts universellement reconnus.
Nous ne faisons rien de notablement humain tant que le désir n’est pas en jeu.
Le haut niveau est un jeu. Alors autant le vivre et le jouer à haut niveau.
L’opposé du jeu n’est pas le sérieux mais la réalité.
L’art est un jeu. Tant pis pour celui qui s’en fait un devoir.
Celui qui se libère, loin d’être incapable de jouer le jeu, le joue encore mieux car il voit la vie comme un jeu.
Après tout, qu’est Dieu Un enfant éternel jouant à un jeu éternel dans un éternel jardin.
C’est être bien dupe d’aimer le monde, quand on n’aime ni les femmes, ni le jeu.
La maturité de l’homme, c’est d’avoir retrouvé le sérieux qu’on avait au jeu quand on était enfant.