Mieux vaut rire que pleurer.
On guérit comme on se console : on n’a pas dans le coeur de quoi toujours pleurer et toujours aimer.
Pleurer est aussi un signe d’enfance. Et c’est en suivant le fil fragile de l’enfance que Dieu s’insinue le mieux en l’homme.
Mais vous pleurez, mi lourd.
J’ai peine à croire qu’on parvienne un jour à démontrer que nous sommes l’oeuvre d’un être suprême et non pas, comme il semble, celle d’un être fort imparfait qui nous a fabriqués en guise de passe-temps.